Finis les dossiers et les heures passées sur l'ordi.
Place à la musique, aux voyages et aux temps entre amis.
À bientôt en France...
vendredi 24 juin 2011
Un mois de juin pluvieux...
...qui rafraîchit l'atmosphère, les esprits...
Finis les dossiers et les heures passées sur l'ordi.
Place à la musique, aux voyages et aux temps entre amis.
À bientôt en France...
Finis les dossiers et les heures passées sur l'ordi.
Place à la musique, aux voyages et aux temps entre amis.
À bientôt en France...
mercredi 8 juin 2011
15 años...
Avoir 15 ans au Mexique, pour une jeune fille, c'est un grand pas !
Préparation de la fête avec beaucoup d'anticipation, et achats ressemblant à ceux qui se font lors de mariages...
Mais dans une soirée comme celle-ci, il n'y a qu'une vedette: la quinceñera.
Après l'entrée des parrains dans la salle, puis des parents, la "quinceñera" fait son entrée triomphante. Des discours, des poèmes, ... puis la princesse danse avec le garçon des "quinceñeras" (celui qui accompagne les jeunes filles du village dans leur première danse de jeune femme). Une danse gracieuse, vivante...
PS: vous remarquerez la décoration soigneuse de la salle... !!
Puis vient la valse avec le papa... et s'enchaîne toute la gente masculine pour continuer harmonieusement à danser les trois pas...
Vient ensuite le moment de couper le gâteau à étages, en présence des parrains et des parents, et sous les applaudissements des invités.
Puis la remise des cadeaux... Une file de personnes se forme devant la princesse, pour remettre son cadeau de 15 ans. La princesse a déjà préparé son bidon d'un mètre cinquante de haut, et accumule les cadeaux dedans... à la fin, il était rempli ! Impressionant ...
Et le repas arrive, sur les plateaux des serveurs... Succulent, goûteux, raffiné, ... un vrai régal. Pendant ce temps là, la "quinceñera" se vêtit de son autre costume du soir... et c'est parti pour un son de bossa-nova qui réveille les oreilles !
Et pour enchaîner, séquence surprises... et une petite anecdote. On venait de terminer de manger, bien remplis, et là, annonce: Teresita (mon amie la soeur de la quinceñera) et Anita (euh...moi !) ont une petite surprise... en piste ! Oups, on doit chanter maintenant ? Bon... je cherche mon diapason dans le désordre de mon sac... je me lève, je m’aperçois que j'avais enlevé mes chaussures (ben oui, je suis pas habituée aux talons !), je les mets à toute vitesse au milieu de la salle, dans l'attente du public... Et puis on y va, et en traversant la salle on tâche de faire descendre la nourriture qu'on vient d'avaler... Ouff ! C'est passé plutôt bien notre duo d'opéra.
Et pour continuer et terminer la soirée, nous avons bien dansé ... !!
Préparation de la fête avec beaucoup d'anticipation, et achats ressemblant à ceux qui se font lors de mariages...
Mais dans une soirée comme celle-ci, il n'y a qu'une vedette: la quinceñera.
Après l'entrée des parrains dans la salle, puis des parents, la "quinceñera" fait son entrée triomphante. Des discours, des poèmes, ... puis la princesse danse avec le garçon des "quinceñeras" (celui qui accompagne les jeunes filles du village dans leur première danse de jeune femme). Une danse gracieuse, vivante...
Puis vient la valse avec le papa... et s'enchaîne toute la gente masculine pour continuer harmonieusement à danser les trois pas...
Vient ensuite le moment de couper le gâteau à étages, en présence des parrains et des parents, et sous les applaudissements des invités.
Puis la remise des cadeaux... Une file de personnes se forme devant la princesse, pour remettre son cadeau de 15 ans. La princesse a déjà préparé son bidon d'un mètre cinquante de haut, et accumule les cadeaux dedans... à la fin, il était rempli ! Impressionant ...
Et le repas arrive, sur les plateaux des serveurs... Succulent, goûteux, raffiné, ... un vrai régal. Pendant ce temps là, la "quinceñera" se vêtit de son autre costume du soir... et c'est parti pour un son de bossa-nova qui réveille les oreilles !
Et pour enchaîner, séquence surprises... et une petite anecdote. On venait de terminer de manger, bien remplis, et là, annonce: Teresita (mon amie la soeur de la quinceñera) et Anita (euh...moi !) ont une petite surprise... en piste ! Oups, on doit chanter maintenant ? Bon... je cherche mon diapason dans le désordre de mon sac... je me lève, je m’aperçois que j'avais enlevé mes chaussures (ben oui, je suis pas habituée aux talons !), je les mets à toute vitesse au milieu de la salle, dans l'attente du public... Et puis on y va, et en traversant la salle on tâche de faire descendre la nourriture qu'on vient d'avaler... Ouff ! C'est passé plutôt bien notre duo d'opéra.
Et pour continuer et terminer la soirée, nous avons bien dansé ... !!
mercredi 1 juin 2011
La Malinche
La Malinche... volcan éteint de 4200 mètres de haut. Défi du 21 mai 2011. 6 amis.
Lever 5h du matin pour prendre un bus qui nous mènera au pied du 5e sommet du Mexique. Nous arrivons à 9h, posons nos réserves et changes dans la cabane que nous avons réservé, préparons nos provisions, étirements, ... et à 10h30, c'est parti pour une montée... rude et éprouvante !
Nous sommes passés par tous les temps, et par toutes les conditions physiques... Chaleur pour commencer, au milieu des pins - odeur et chant du vent agréables -,
puis arrivée du frais dans du sable et une terre plutôt arride, où l'altitude commença a peser.... Obligés d'aller très lentement pour que notre cœur ne s'excite pas trop fort... enfin je parle surtout pour moi, car certains se sont très bien débrouillés !
Nous avons continué dans les graviers avec un froid de plus en plus glaçant et un vent déchaîné, puis dans les pierres (grosses pierres où il fallait escalader), et enfin... Enfin ! Le cratère. Splendide. Immense. Silencieux, ou qui laisse sans voix.
Nous descendons après avoir prix conscience qu'il faut s'activer si on veut arriver avant la nuit... Dans la descente, une tempête de neige nous glace le visage, le sable et les graviers nous font perdre l'équilibre, nous finissons en descendant sur les fesses. Arrivés de nouveau dans le bois, nos jambes ont du mal à continuer sans trébucher sur des branches et des troncs...
Puis la nuit arrive, heureusement nous avions des lampes de torche, cela nous a permis de ne pas nous perdre et d'arriver à 21h (oui, très tard !), épuisés.
Après une bonne douche chaude, la fête n'a pas continué longtemps, vous pouvez me croire !!
Lever 5h du matin pour prendre un bus qui nous mènera au pied du 5e sommet du Mexique. Nous arrivons à 9h, posons nos réserves et changes dans la cabane que nous avons réservé, préparons nos provisions, étirements, ... et à 10h30, c'est parti pour une montée... rude et éprouvante !
Nous sommes passés par tous les temps, et par toutes les conditions physiques... Chaleur pour commencer, au milieu des pins - odeur et chant du vent agréables -,
"Viejo Pit", nom de l'arbre sur lequel nous avons fait une hâlte. Foto: Tere
puis arrivée du frais dans du sable et une terre plutôt arride, où l'altitude commença a peser.... Obligés d'aller très lentement pour que notre cœur ne s'excite pas trop fort... enfin je parle surtout pour moi, car certains se sont très bien débrouillés !
Nous avons continué dans les graviers avec un froid de plus en plus glaçant et un vent déchaîné, puis dans les pierres (grosses pierres où il fallait escalader), et enfin... Enfin ! Le cratère. Splendide. Immense. Silencieux, ou qui laisse sans voix.
La pente du volcan, en arrivant en haut...
Les grosses pierres commencent... !!
Le cratère.
Le retour, avec de belles couleurs dans le ciel...
Nous descendons après avoir prix conscience qu'il faut s'activer si on veut arriver avant la nuit... Dans la descente, une tempête de neige nous glace le visage, le sable et les graviers nous font perdre l'équilibre, nous finissons en descendant sur les fesses. Arrivés de nouveau dans le bois, nos jambes ont du mal à continuer sans trébucher sur des branches et des troncs...
Puis la nuit arrive, heureusement nous avions des lampes de torche, cela nous a permis de ne pas nous perdre et d'arriver à 21h (oui, très tard !), épuisés.
Après une bonne douche chaude, la fête n'a pas continué longtemps, vous pouvez me croire !!
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